Aprèsun rappel de ce que doit être une « ville de demain », nous faisons le bilan de l’activité « Ecoville » : les aménagements créés, dans quel but, quels acteurs Puis les élèves s’installent pour une vingtaine de minutes en 6 groupes autour de la maquette. Ils sont répartis en groupe selon trois thèmes. Les consignes sont explicitées et les objets qu’ils peuvent
Seprojeter en 2050 Les Denaisiens ont présenté un recueil de nouvelles et un journal « Moi, demain à Denain », mais aussi une maquette de leur ville.Natanael explique ce choix : « nous
Unequinzaine d'élèves de 3e professionnelle peaufinent la réalisation d'une maquette. La fin d'un projet où, après conception à partir d'un logiciel, il faut fabriquer en équipe la
Villebiomimétique, ville de demain. Ce rendez-vous inédit sera une occasion à ne pas manquer pour aller à la rencontre du biomimétisme, écouter des experts, percevoir les enjeux stratégiques pour la ville et découvrir les solutions d’avenir que cette approche scientifique laisse entrevoir. Public visé : tous publics.
Granddéballage de maquettes, jeudi 17 février, au centre de loisirs de Frontignan-plage. Pas d'avions, ni de bateaux en plastique mais bien plutôt des maquettes de quartiers de la ville dans
znan0. La mobilité émerge en France. L'Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux Ifsttar s'intéresse à la route intelligente depuis quelques années et a lancé le projet "R5G" pour développer la route communicante de demain. Mais quels matériaux utilise-t-on pour rendre ces routes intelligentes ? Les innovations sont importantes. Demain, la route sera sûrement composée de matériaux innovants lui permettant de s’auto-réparer et d’être autonome en énergie. La chaussée sera chauffante ou refroidissante en fonction des conditions météorologiques. Elle fera également la part belle aux matériaux bio-sourcés pour remplacer les matériaux d’origine pétrolière. Vers une route de l’auto-diagnotic Bientôt, la route pourra auto-diagnostiquer une déformation de la chaussée ou envoyer des informations sur le trafic. Pour ce faire, elle renfermera des capteurs de déformation interconnectés, des fibres optiques ou des nanomatériaux. Incorporée au niveau de la bande de roulement, la fibre optique peut mesurer les déformations. Les changements de fréquence de la lumière à l’intérieur de la fibre témoignent en effet de déformations précoces et permettent d’agir pour éviter des dégradations plus importantes. L’auto-diagnostic pourrait aussi se faire grâce à des nanocomposites présentant des propriétés piézoélectriques. L’idée est alors de déposer une couche d’un nanocomposite à base d’argile, de graphite et de nanotubes de carbone dans la couche de roulement. Ainsi, dès qu’une pression s’excerce sur la chaussée, le nanocomposite génère un courant électrique entre deux électrodes en aluminium. Une fois les signaux traités, cela permet d’avoir une image de l’état de la route ou du trafic. La route sera-t-elle solaire ? Demain, les routes seront peut-être transparentes ou semi-transparentes, enfermant des capteurs photovoltaïques sous la surface de chaussée. Le projet Solar roadways aux Etats-Unis et Solar road aux Pays-Bas sont les plus avancés. Les Pays-Bas viennent d’ailleurs d’inaugurer une piste cyclable solaire renfermant des panneaux photovoltaïques et une surface de chaussée en verre. L’Iffstar travaille également sur ce sujet depuis 2012. On travaille sur des revêtements en verre pilé qui ressemblent à du béton bitumineux classique, avec un aspect semi-transparent. Le liant entre le verre pilé est soit végétal soit une résine classique », confie Nicolas Hautière, Directeur de projet R5G à l’Ifsttar. L’électricité produite pourra être injectée dans le réseau électrique public, alimenter les éclairages de la route ou recharger les batteries des véhicules électriques en roulant. La chaussée chauffante ou refroidissante Pour refroidir une route en été ou la dégivrer en hiver, l’Iffstar envisage de faire circuler sous la chaussée un fluide caloporteur. On vient transformer la route en pompe à chaleur », présente Nicolas Hautière. On vient faire un échangeur de chaleur entre la couche de chaussée et le sous-sol en été, le fluide chauffe au contact du soleil et transporte la chaleur au sous-sol. L’hiver, c’est l’inverse, on fait monter la chaleur pour réchauffer la chaussée », résume Nicolas mène actuellement un test sur ce procédé à Aigleton, sur le site de l’Ecole d’Application aux métiers des Travaux Publics EATP. Pour une meilleure adaptation au changement climatique, les chercheurs revisitent également le concept de chaussée-réservoir » ou chaussée-poreuse », technologie datant des années 1980. Ces chaussées permettent de stocker les eaux pluviales dans le corps de chaussée. Cela permet de réguler l’écoulement des eaux, afin de ne pas saturer le réseau d’eaux pluviales et éviter ainsi les risques d’inondations en cas de fortes pluies. Des matériaux de plus en plus bio-sourcés Rappelons-le, le béton est un mélange de granulés gravillons, sables… et d’un liant permettant de les agglomérer. Ce liant est souvent du bitume, un mélange très visqueux d’hydrocarbures. Le matériau de la route du future se doit donc d’être plus écologique. L’Ifsttar travaille sur des matériaux comprenant des liants bio-sourcés, notamment à base de micro-algues, pour préparer l’ère post-pétrole. Si la filière micro-algues se met en place pour produire des biocarburants, nous pourrons utiliser les déchets de production pour faire des liants pour les routes », assure Nicolas Hautière. Cela permettra de remplacer les liants bitumineux issus du bas de la chaîne de raffinage du pétrole, par un liant naturel d’origine micro-algale », précise-t-il. Cet enjeu a été exploré dans le cadre du projet Algoroute. C’est pour quand et à quel prix ? Les technologies vont se déployer petit à petit », prévoit Nicolas Hautière. La rapidité de diffusion des innovations dépendra des industriels, des financements, des politiques et de l’acceptabilité de la société. »Si l’on veut passer à grande échelle sur des démonstrateurs sur des routes circulées, l’obstacle n’est plus le financement, mais le politique », défend-il. Ces démonstrateurs devront intégrer plusieurs sous-ensembles de ces innovations. Il faudra évaluer la synergie entre les solutions techniques, mais également identifier les éventuels problèmes de mises en œuvre simultanées. Les premiers transferts industriels à grande échelle sont prévus d’ici 2020. Quels en seront les coûts et comment les travaux seront-ils financés? C’est la grande inconnue pour le moment. Malheureusement, la mise au ban de l’écotaxe n’est pas actuellement une bonne nouvelle pour le financement de ces infrastructures. Il faudra donc rapidement concevoir de nouveaux outils de politiques publiques pour financer le déploiement des différentes combinaisons innovantes de la R5G à l’ensemble du territoire. Une chose est néanmoins sûre Si l’on arrive à faire des choses plus intégrées, préfabriquées et diffusées à grandes échelles, cela coûtera moins cher que d’avoir des technologies indépendantes les unes des autres qui se développent une à une », affirme Nicolas Hautière. Plusieurs autres questions demeurent Quelle sera la durée de vie de ces technologies par rapport à l’infrastructure? Comment traiter les données big data lorsque ces routes seront généralisées ? Faut-il privilégier le réseau autoroutier, les routes nationales ou les routes urbaines ? Comment prioriser les zones à installer ? Tout autant de défis à relever. Alors, la route de demain comprendra-t-elle une chaussée transparente, sous laquelle se trouveront des panneaux solaires, un fluide caloporteur, des capteurs et des matériaux bio-sourcés? Réponse prochainement ! La route de 5e génération permettra aussi de mieux gérer le trafic en faisant communiquer les véhicules entre eux et avec les infrastructures. Mais ceci est un autre défi que nous vous avons déjà raconté. Par Matthieu Combe
La ville de demain programmation du trajet de navettes électriques 17 avril - Vidéo Sciences et technologie Lumni Ce cour de technologie a pour sujet la ville de demain en constat réalisé les grandes métropoles sont polluées mars 2019. Hypothèse serait-ce dû aux dépalcements des voitures à moteur à combustion ? Si on regarde la même carte réalisée en mars 2020, on remarque qu'il y a une baisse de la pollution, liée en partie à la baisse de la circulation automobile. Et si on imaginait la ville de deamin ? L'occasion de modifier nos pratiques. Comment la technologie pourrait nous aider à agir de manière ethique et responsable de façon à limiter la pollution urbaineet améliorer la qualité de l'air ?
Les CM1 ont réalisé des maquettes en lien avec un projet réalisé par les classes de sixième. Le scénario est le suivant la montée des eaux entraîne un changement dans l’organisation des villes. Les CM1 ont donc imaginé comment adapter les infrastructures à ce bouleversement climatique et ont réalisé la maquette d’une ville du futur. Cela a été fait en lien avec un travail en géométrie sur les solides. Voici les photos des maquettes et un lien vers l’exploration de la maquette des CM1C qui ont réalisé un Genialy pour légender la maquette
des conceptions innovantes face aux enjeux La ville du futur fait rêver. D’ici à une trentaine d’années, comment vivrons-nous ? Les espaces urbains auront-ils réussi à muter pour atteindre une alchimie parfaite avec l’environnement, les villes seront-elles plus résilientes ? Les politiques urbaines intègreront-elles des dimensions sociale et environnementale en constante évolution ? Autant de questions dont la réponse nous parviendra certainement avec le temps, mais auxquelles nous pouvons nous essayer à répondre dès maintenant. Nombreux sont les architectes et les urbanistes imaginant d’ailleurs déjà la ville du futur 2050. Quelques architectes visionnaires sur la ville du futur 2050 Vincent Callebaut En matière de ville du futur, l’architecte Vincent Callebaut tire constamment son épingle du jeu, notamment du fait de la multiplicité de ses projets d’envergure. Une exposition “Villes 2050” a même été tenue en 2018 au parc du Futuroscope pour présenter 19 des projets dudit architecte sur 50 déjà réalisés ou en cours, environ. Parmi les projets architecturaux de Vincent Callebaut La Tao Zhu Yin Yuan, une tour à usage d’habitation principalement et occupant environ 50 000 mètres carrés. Sa structure bioclimatique et sa consommation 2 fois moins élevée que les autres projets de ce type représentent ses particularités, une bonne idée de ce à quoi pourraient ressembler les nouvelles constructions dans la ville du futur 2050. The Gate, au Caire. Ici, 1 000 appartements, commerces et bureaux sur plus de 450 000 m² de superficie ainsi que de multiples panneaux solaires et une facture énergétique diminuée de 40 % par rapport à ses homologues. La Rainbow Tree ou “arbre arc-en-ciel » aux Philippines. Sur 32 étages, cette tour modulaire en bois massif est composée de plus de 30 000 plantes, un véritable puits de carbone pour un bâtiment à empreinte environnementale positive. Paris en 2050, par Vincent Callebaut A l’image des autres projets de Vincent Callebaut, le projet Paris Smart City 2050 se veut une version plus intelligente et plus verte de la capitale, notamment par la conception de 8 prototypes de tours économes en énergie et bioclimatiques. On parle bien évidemment de tours dépolluantes et solaires permettant de lutter durablement contre le phénomène d’ilots de chaleur star propose la création de corridors écologiques, de façades à base d’algues vertes pour permettre de capter le CO2 de l’air ambiant et de le stocker, de parcs verticaux, de tours maraîchères et de balcons potagers, de ponts paysages alimentés par des éoliennes et des hydroliennes… Est prévue avec ce projet une réduction de 75 % des émissions de gaz à effet de serre de la capitale. Un Paris 2050 qui fait indéniablement rêver, tant par son caractère architectural que par son potentiel bioclimatique. Norman Foster Cet architecte de renom se distingue notamment par ses conceptions étonnantes associant à la perfection innovation et dimension écologique. Il est considéré comme certains comme un précurseur en matière d’architecture high-tech et a d’ailleurs reçu pour ses projets plus de 300 prix et récompenses. Pour lui comme pour les autres architectes urbanistes, la ville de demain se pense aujourd’hui, avec notamment Apple Park Cupertino, siège social de la célèbre marque, L’Hôtel de ville de Londres, Hearst tower New-York, premier building écologique, partant de l’extension d’un bâtiment historique existant. Soulignons qu’une grande partie de ce bâtiment provient de sources recyclables. Des modèles durables déjà implantés dans nos villes Des airs de 2050 se perçoivent déjà aujourd’hui, dans quelques villes un peu partout dans le monde. Europe du Nord, Asie… En Corée du Sud dans la ville durable de Songdo, on compte déjà 40 % d’espaces verts et quasiment aucune voiture. Hong-Kong compte quant à elle de plus en plus d’ilots urbains autosuffisants en énergie et l’agriculture urbaine y tient également une place travers le monde, les réseaux de transports en commun s’étoffent et évoluent vers une énergie verte. Des systèmes de gestion des déchets souterrains performants apparaissent. Et que dire des innovations constatées en matière d’habitat écologique et d’intelligence urbaine ? Tout cela fera sans conteste partie de la ville du futur. Pour 2050, il s’agira de faire évoluer les modèles durables d’écoquartiers à l’échelle de la ville, pour créer un écosystème urbain global autosuffisant. La vie en 2050 En France et à l'étranger, des objectifs clairs Penser la ville du futur 2050 ne répond pas tant à un besoin sociétal ou architectural mais plutôt bel et bien à un enjeu climatique fort. La crise environnementale actuelle nous amène tous à repenser nos modes de consommation mais également la façon dont nous nous déplaçons et dont interagissons au sein des espaces urbains. Ceux-ci doivent donc se réinventer. D’ores et déjà, les multiples sommets à vocation environnementale ont fait émerger des objectifs clairs pour 2050 et notamment, celui de la neutralité carbone pour la France. Quelques enjeux de la ville du futur 2050 L’un des enjeux principaux des villes actuelles et futures sera de refroidir les espaces urbains pour une meilleure qualité environnementale notamment. Il s’agit de remplacer les îlots de chaleur par des ilots de verdure, une verdure qui s’invite en ville également pour des raisons liées à la crise environnementale actuelle et qui n’a pas seulement vocation à la dépolluer mais aussi à permettre à la ville de cultiver des denrées. Les fermes verticales sont d’ailleurs communes à tous les projets urbains futuristes pour mobilité verte permettra également de refroidir les villes du futur en évitant de rejeter des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. En France, le secteur des transports est responsable de 31 % des émissions de gaz à effet de serre du quant à lui, se voudra bioclimatique et connecté pour des dépenses énergétiques minimes voire nulles.
En 2050, les villes abriteront six milliards de personnes, soit près de 70 % de la population mondiale. Un peu comme un laboratoire, Hong Kong expérimente des solutions nouvelles. Architectes et chercheurs y proposent des espaces verts sur les immeubles ou une flotte de véhicules autonomes. Un épisode de Rêver le futur, sur Planète + nous les fera découvrir ce soir à 20 h 45. Futura a abordé ce sujet à de nombreuses reprises. Voici une balade dans les villes du futur...Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Walkcar, un étrange véhicule électrique Walkcar est un curieux petit véhicule électrique permettant de se déplacer facilement en milieu urbain. Plus pratique et compact qu’un vélo, il peut tenir facilement dans un sac. En voici une démonstration en vidéo. Conditions de circulation difficiles, pollution de l’air, qualité de vie sacrifiée. Vivre en ville apparaît comme de plus en plus compliqué. Pourtant, en 2050, le monde ne comptera pas moins de 6 milliards de citadins chiffres Banque mondiale. Il semble donc indispensable de remodeler le paysage urbain pour le rendre plus efficace et plus agréable à vivre. C'est le défi lancé aux grandes villes de la ville du futur…La ville durable de demain sera, à n'en pas douter, une ville sobre, compatible avec une planète aux ressources limitées. Même si les idées proposées par les architectes peuvent parfois sembler un peu folles...Naturopolis New York, la révolution verte. Ou comment une mégalopole est en train de se repenser sous nos yeux. Dans cinquante ou cent ans, les villes seront différentes de celles d’aujourd’hui. C’est une nécessité, mais il faut y réfléchir maintenant. © Docside Production, Arte, Science & Télévision… pour en faire une véritable ville sensibleCréer du lien entre la ville et ses habitants, en faire un lieu d'épanouissement intellectuel et de proximité avec la nature, c'est l'enjeu d'une ville plus sensible. Ce modèle urbain totalement nouveau offrira aux citadins de demain la possibilité de jouir de quantités de biens et de services, au bon endroit et au bon nourrir les citadins de demain ?Aujourd'hui, la capacité des villes à nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c'est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. À l'avenir, c'est l'ensemble du système qu'il faudra revoir notamment en prévoyant des espaces de production en ville, mais aussi en évitant le gaspillage l’énergie pour les villes du futurLa question énergétique se place au cœur des questions posées par les villes de demain. Dans un contexte de réchauffement climatique de plus en plus pesant, les urbanistes devront aux citadins de penser les villes de demain en y incluant une réflexion sur la production d’énergie se déplaceront les citadins de demain ?Les transports représentent un autre enjeu majeur de la ville de demain. Une question de préservation de l'environnement, une question de santé mais aussi une question de bien vivre en cette vidéo, Nissan et le cabinet d’architecture Foster Partners exposent leur vision de la station-service du futur » qui n’a plus rien à voir avec ce que nous connaissons aujourd’hui. © Nissan Europe, YouTubePlan de déplacement urbain en quoi consiste-t-il ?COP21 les transports non polluants sont-ils la clé d’un futur écologique ?La voiture autonome de Google comprend les gestes des cyclistesNavya, le premier véhicule autonome et électrique disponible à la venteUne appli pour trouver une place de parking libreLondres va tester des passages piétons intelligents »Intéressé par ce que vous venez de lire ?
comment faire une maquette de la ville de demain